Dans l’éternel oubli je dormirais encore; – Mes yeux n’auraient pas vu ce faux jour que j’abhorre.

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Dans l’éternel oubli je dormirais encore; – Mes yeux n’auraient pas vu ce faux jour que j’abhorre.
[ Alphonse de Lamartine – Source : Méditations poétiques (1820), XVIII ]

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