Il est certain que, quoi qu’on fasse, on est toujours le fantoche de quelqu’un. C’est un malheur dont on ne meurt pas. Il faut s’en consoler, en rire, songer que la vie est un prétexte à nous blaguer les uns les autres, et penser du prochain et de sa malignité :
— Il ne se moquera jamais de moi autant que je me ficherai de lui.
Georges Courteline : La philosophie de Georges Courteline
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Georges Courteline : La philosophie de Georges Courteline
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