Noël n’est pas un jour ni une saison, c’est un état d’esprit. [ Calvin Coolidge ]
Citations
L’écriture c’est la vie, il y a tout dedans, le meilleur comme le pire.
L’écriture c’est la vie, il y a tout dedans, le meilleur comme le pire. [ Max Monnehay ]
Le chien ne mange pas le chien.
Le chien ne mange pas le chien. [ Proverbe latin ]
Ma grand-mère se souvenait de son voyage de noce à Paris, mais pas d’avoir été mariée.
Ma grand-mère se souvenait de son voyage de noce à Paris, mais pas d’avoir été mariée. [ Michel Galabru – Source : Pensées, répliques et anecdotes (2006) ]
Les plus puissants ne sont pas à l’abri de la vengeance et de la défaveur.
Les plus puissants ne sont pas à l’abri de la vengeance et de la défaveur. [ Monique Corriveau – Source : Compagnon du soleil ]
Quand quatre hommes ou plus se rencontrent, ils parlent de sport. Quand quatre femmes ou plus se rencontrent, elles parlent des hommes.
Quand quatre hommes ou plus se rencontrent, ils parlent de sport. Quand quatre femmes ou plus se rencontrent, elles parlent des hommes. [ Rita Rudner – Source : Choses à savoir sur les hommes ]
Pour bien gérer, il faut partager les sacrifices avec tout le monde, et les bénéfices avec personne !
Pour bien gérer, il faut partager les sacrifices avec tout le monde, et les bénéfices avec personne ! [ Georges Wolinski – Source : Les Socialos ]
Le mauvais goût n’existe pas, mais la norme le pousse à exister.
Le mauvais goût n’existe pas, mais la norme le pousse à exister. [ Vincent Gury ]
Dans sa tour d’acier La nature trouve un moyen Pour provoquer un désordre incroyable.
Dans sa tour d’acier La nature trouve un moyen Pour provoquer un désordre incroyable. [ Björk ]
La souffrance d’autrui, même lorsqu’on connaît la cause, est une porte verrouillée de l’intérieur contre laquelle on ne peut que frapper discrètement pour que l’autre sache qu’il n’est pas seul.
La souffrance d’autrui, même lorsqu’on connaît la cause, est une porte verrouillée de l’intérieur contre laquelle on ne peut que frapper discrètement pour que l’autre sache qu’il n’est pas seul. [ Yvon Rivard – Source : Les Silences du corbeau ]