[…] dans l’ingrate forêt vierge de la vie.
Dino Buzzati (L’enfant tyran, trad. Michel Breitman, p.239 in L’écroulement de la Baliverna, Folio n° 1027)
Quand tu aimes quelqu’un, tu le prends en entier, avec toutes ses attaches, toutes ses obligations. Tu prends son histoire, son passé et son présent. Tu prends tout, ou rien du tout.
R. J. Ellory (Seul le silence, trad. Fabrice Pointeau, p.222, Livre de Poche n°31494, 2008)
[En parlant du plaisir de mentir] C’est l’une des plus grandes voluptés de la vie !
Sacha Guitry (Mon père avait raison, p.26, Livre de Poche no 1953 )
Quand on a perdu une chose importante, quelle qu’elle soit, on peut pratiquement perdre tout le reste. Et le reste, ce n’est pas grand-chose.
Francis Dannemark (L’hiver ailleurs, p.64, Éd. Robert Laffont,1988)
Le Ciel n’a pas toujours accompli ses menaces ;
Il accueille les pleurs qui lui sont adressés.
Pierre-Marie-François-Louis Baour-Lormian (Omasis, acte 3, sc. 2 (Almais), 1806)