[…] l’amour n’a aucun remède à offrir.
Maryse Condé (No woman no cry, p.60, Le Serpent à Plumes, n°13)
[Le filin [du cerf-volant] s’est tendu à la manière d’un fil de pêche lorsqu’un grosse truite mord à l’hameçon, mais ce qui est bien avec un cerf-volant, c’est que rien ni personne ne meurt.
Stephen King (Joyland, p.121, trad. , Océane Bies, Nadine Gassie, ebook, ed. Albin Michel, 2013.)
Alice : J’ai à peu près oublié ce qu’est le rire.
Le capitaine : Il ne faut jamais l’oublier… On s’embête assez sans cela.
August Strindberg (La Danse de mort, trad. Alfred Jolivet et Georges Perros, p.15, Éd. de L’Arche)
L’un des traits les plus caractéristiques de notre culture est l’omniprésence du baratin.
Harry G. Frankfurt (De l’art de dire des conneries (Incipit), trad. Didier Sénécal
, p.17, Éd. 10|18, n°3889)
Les malheurs sont souvent enchaînés l’une à l’autre;
Jean Racine (Esther, p.291, in Théâtre 2, Garnier-Flammarion, n° 37)