L’auteur de tant de maux connaît donc le sommeil!
Étienne de Jouy (Sylla, acte 2, sc. 3 (Claudius), 1824)
[…] rien ne prédispose plus au conformisme que le manque de formation.
Gustave Thibon (L’équilibre et l’harmonie, p.180, Fayard, 1976)
La société est bien gouvernée quand les citoyens obéissent aux magistrats, et les magistrats aux lois.
Solon (Moralistes anciens, p.528, choix de Louis Aimé-Martin, Lefèvre et Chapentier, Paris, 1844)
En début d’après-midi, elle va dans la cour arrière prendre place dans les balançoires, occupées par des dames comme elle, âgées, seules, qui habitent des petits logis tout blancs, toujours propres et silencieux. Ensemble, à l’ombre, elles bercent tranquillement leur vie qui s’achève. Leur vieillesse prend une pause.
Céline Cyr (Les dames des balançoires, p.44, in Virages n°39, 2007)
Le rien existe aussi bien que le « quelque chose ».
Démocrite (Les penseurs grecs avant Socrate, trad. Jean Voilquin, p.177, Garnier-Flammarion n° 31)