Mon ami, mon très cher ami, c’est le conte qui te le dit : le retour à la racine n’est jamais la fin du voyage.
Iomomba Emongo (La vraie histoire de la princesse Osango, p.54, Mémoire d’encrier, 2006)
La raison nous trompe plus souvent que la nature.
Vauvenargues (Réflexions et maximes, in Oeuvres, Garnier-Flammarion n° 336, p.195)
Nos deuils sont des blessures qui nous chassent un peu plus tous les jours du paradis.
Gilles Delorme (Cité par H. Reeves dans Intimes convictions, p.101, Stanké, 2001)
Le temps ne fait rien que nous rappeler que nous n’en avons jamais assez.
R. J. Ellory (Seul le silence, trad. Fabrice Pointeau, p.521, Livre de Poche n°31494, 2008)
Se contenter d’être heureux, c’est plafonner. Peut-être plafonner un peu bas.
Marcel Aymé (Les Maxibules (Ludovic, première partie), p.70, Gallimard/nrf, 1962)