On ne peut pas s’intéresser à deux personnes sans que l’une au moins soit ridicule. C’est malheureux !
François de Curel (Orage mystique (Clotilde, I,1), p.4, La Petite Illustration, 1927)
Se dégager des influences nécessite une longue patience. La vie n’y suffit pas : il y faut la mort. Et encore ! Beaucoup trop d’hommes copient la mort des autres.
René de Obaldia (Genousie (Le Domestique, Acte II, scène 8), p.76, Grasset, 1966)
Les besoins de l’âme ne sont pas moins forts que ceux de l’organisme, quoique aussi difficiles à définir et à prévoir.
Claude Roy (L’ami lointain, Gallimard nrf, p.72)
[…] on ne venge que ceux qu’on n’a pas à mépris.
Pierre Du Ryer (Les Vendanges de Suresnes, acte 2 sc. 3 (Dorimène) p.26, inThéâtre du XVIIe siècle T. II, Gallimard/Pléiade, 1986)
Quand on est ami tendre, on est mari parfait.
Louis de Boissy (L’Époux par supercherie, acte 2, sc. 14 (Belfort), 1744)