Les progrès, quoique nécessaires, sont entremêlés de décadences fréquentes, par les événements et les révolutions qui viennent les interrompre.
Anne Robert Jacques Turgot (Plan du Second Discours sur l’histoire universelle, dont l’objet sera les progrès de l’esprit humain in Oeuvres, p. 646, Guillaumin, 1884)
Un amant préféré n’a qu’une faible gloire,
Si quelque infortuné n’ajoute à sa victoire.
François Benoît Hoffmann (L’Original, sc. 8. (Linval), 1797)
Au-dessus d’un certain niveau de richesse, personne ne craint plus le ridicule.
Franz Bartlelt (Petit éloge de la vie de tous les jours, p.91, Folio n°4954, 2009)
[…] Le triomphe de la force est toujours précaire.
Gustave Belot (La conscience française et la guerre, p. 52, éd. Félix Alcan, 1921)
Tu peux être Dieu des chiens, Dieu des chats, Dieu des pauvres, il te suffit d’une laisse, d’un peu de mou, de quelque fortune, mais tu ne seras jamais maître de l’arbre. Tu ne pourras jamais que vouloir devenir arbre à ton tour.
Georges Perec (Un homme qui dort, p.42, Folio Plus n°44)