[…] résister à [..] une attrayante erreur.
Henry Bauchau (Antigone, p.294, Actes Sud 1997)
Après les bons amis, les bons livres m’enchantent.
À toute heure, en tout temps, je tiens entre les mains
Les ouvrages fameux des Grecs et des Romains.
Ô le grand don de Dieu que d’aimer la lecture !
Gédéon Tallemant des Réaux (Épître au père Rapin in Les historiettes, T.6, p. 409, J. Techener, 1865)
Un coup d’épingle est une blessure, s’il touche à une ancienne blessure.
Marie Joséphine de Suin dite Comtesse Diane (Maximes de la vie in Souvenirs d’un vieux critique de A. de Pontmartin, p. 137, Calmann Lévy, 1884)
L’homme, dont l’esprit vif embrasse d’un coup d’oeil l’ensemble d’un objet, se contente d’ordinaire de ce premier aspect et se trouve à la fin dépassé par celui dont le bon sens l’étudie en détail et en sonde lentement les profondeurs.
François-Simon Defay-Boutheroue (Les Loisirs d’un Observateur, in L’académie de Sainte-Croix d’Orléans : lectures et mémoires, T.2, p.126, 1872.)
Quand on voudra définir la philosophie du XIXe siècle, on s’apercevra qu’il n’a fait que de la théologie.
Remy de Gourmont (Des pas sur le sable… , p.263, in Promenades philosophiques, Troisième série, Mercure de France, 1925)