François de Malherbe : Oeuvre inconnue

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Mon coeur, ma chère âme, je prie Dieu qu’il vous veuille consoler. Je crois que vous en aurez bien besoin. Souvenez-vous que quand notre fille aurait vécu cent ans, il lui fallait toujours mourir.
La mort, en nous ôtant tout, nous a appris à ne la craindre plus. Aussi pour moi je ne la crains plus qu’en une seule occasion. Si j’ai cette bonne fortune de mourir premier que vous, qui est tout le souhait que je fais à Dieu, je sais bien que je ne pleurerai jamais beaucoup.

François de Malherbe :

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