Jean-Jacques Rousseau : Emile et Sophie, ou les solitaires

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Les grandes plaies du corps et de l’âme ne saignent pas à l’instant qu’elles sont faites; elles n’impriment pas sitôt leurs plus vives douleurs. La nature se recueille pour en soutenir toute la violence, et souvent le coup mortel est porté longtemps avant que la blessure se fasse sentir.

Jean-Jacques Rousseau : Emile et Sophie, ou les solitaires

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